Quand j'ai reçu l'invitation de Mademoiselle Violette, j'ai cru que c'était trop beau pour être vrai. En gros, pour le prix d'une séance de massage, elle en offrait cinq (visage, épaules, mains, pieds et dos) + une manucure avec pose de vernis + des ateliers relooking avec maquillage personnalisé.
Tout ça au Grand hôtel de l'Opéra de Toulouse avec thé et café à volontiers, assiettes de chamallows et de gâteaux et coupes de champagne.
J'ai donc décidé d'aller voir ça de plus près avec une copine aussi fatiguée que moi.
L'extase.
Je vous jure qu'on n'avait plus la même tête après.
Pourquoi que je vous raconte tout ça ?
Eh bien, parce que Mademoiselle Violette exporte son concept de Journées Bien-être et Beauté à Paris avec, au programme, des séances de réflexologie, un modelage crânien dans le noir absolu, des soins du visage et des mains... et du côté beauté, un bar à ongles et à cheveux, des spécialistes du relooking qui vous donneront plein de conseils pratique, un atelier de customisation de vêtements, et j'en oublie...
Soit 30 intervenants pour 40 clientes par séances de 3 heures. Cosy, cosy, cosy.
La première journée parisienne aura lieu le 21 avril avec quatre plages horaires au choix au Loft Factory, dans le quartier de Montorgueil à Paris.
Pour avoir toutes les infos et s'inscrire, c'est simple, il suffit d'aller sur le blog de Mademoiselle Violette.
Quoi encore ?
Ah oui, le prix. Le prix est de 95 euros la séance mais ça, c'est pour le commun des mortels car, mes copines et lectrices préférées, grâce au code COPFRED, vous bénéficierez d'une remise de 25 %.
Quand je vous disais qu'elle était trop cool, Mademoiselle Violette.
Alors, bloquez-vous la date ou si vous ne pouvez pas y aller, refilez le plan à vos amies, collègues, frangines, cousines...
Vous savez quoi ? Je vous envie car ici, à Toulouse, la prochaine journée Bien-être et Beauté n'aura lieu que le 2 juin. Ouin !!!
Et elle vient quand, à Lille, la Demoiselle (avec ses 10 doigts) (et tous ses acolytes) ?!
J'en rêve déjà...
Rédigé par : anacoluthe | 11 avril 2012 à 11:05