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Rédigé à 09:00 dans Toute la musique que j'aimeueueueu... | Lien permanent | Commentaires (8) | TrackBack (0)
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Pour une fois que je suis en phase avec l'actualité, je vais pouvoir frimer.
Je viens de terminer Elle s'appelait Sarah de Tatiana de Rosnay qui traînait parmi mes bouquins à lire depuis deux ans. En effet, depuis que j'avais lu le résumé, j'attendais d'être moralement assez forte pour pouvoir lire l'histoire de cette petite fille dont la vie a explosé lors de la rafle du Val d'Hiv.
Et j'ai bien fait !
Dans le genre "cours d'histoire choc", ça donne. Dans la première partie du livre, l'auteur ne nous épargne aucun détail de l'horreur qu'ont vécu ces gens et surtout ces enfants. Même si le style n'est vraiment pas exceptionnel, l'histoire est tellement forte qu'elle se suffit à elle-même.
Par contre, quand on revient sur terre (ou plutôt de l'enfer) pour suivre l'histoire personnelle de la journaliste qui enquête sur la vie de la petite Sarah, c'est forcément moins prenant.
Un bilan mitigé donc même si l'histoire me hante encore... Ma note ? 13 / 20.
Par contre, même si j'adore Christine Scott Thomas, je n'irai pas voir le film car je n'ai pas envie de voir sur grand écran les images imprimées dans mon cerveau. Trop dur.
Rédigé à 09:00 dans Coin lecture | Lien permanent | Commentaires (10) | TrackBack (0)
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Si je vous dis : Lili Gaufrette, Confetti, Chipie, Zara, Cordelia de Castellane, Petit Bâteau, Bubble, H&M à prix minis, minis, vous me dites quoi ?
Paradis ?
Eh bien, le paradis existe. Certaines d'entre vous le connaissent déjà, beaucoup d'autres pas encore. C'est mon vide dressing que j'ai avec ma copine Pivoine et peut-être un jour ces flemmardes de Miss Rainette, Daydreamer et d'Adéjie.
Son nom ? Le Very Big Bazar.
Son adresse ? Là.
Le principe ? Du seconde main peu porté et donc absolument impeccable.
Les tailles dispos ? Bébé et 4 ans pour les filles et 8 à 10 ans pour les garçons.
En ce qui me concerne, le dernier réassort de la saison est en court, alors profitez-en... ou faites passer le mot à vos copines.
Merci !
Rédigé à 09:30 dans Fashion mais pas pomme, Le coin des berniques | Lien permanent | Commentaires (5) | TrackBack (0)
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"Je ne mange plus du tout de Nutella"...
Eh bien, chère Marion, j'ai une excellente nouvelle. Tu vas pouvoir vite refaire un peu de gras (parce que franchement, tu as les joues vraiment trop creuses en ce moment) avec cette recette de Nutella maison trouvée dans Marie-Claire. Trouvée, et testée derechef avec mes loulous.
Nous, on a fait ça avec un saucier. Top facile.
Et le résultat ? Un délice.
Par contre, ça durcit un peu au frigo. Il faut donc penser à le sortir avant usage... ou à l'étaler sur des tartines grillées encore chaudes.
Slurp.
Rédigé à 09:00 dans Délicatessen | Lien permanent | Commentaires (11) | TrackBack (0)
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Dans la rubrique "j'ai des copines formidables", voici Josy, l'un des moteurs de La maison des aventures solidaires.
Plus qu'un concept, LMDA est une philosophie : allier expérience personnelle et culturelle et solidarité.
C'est aussi la volonté de créer un lieu de partage où aventuriers, explorateurs et acteurs humanitaires transmettent leur savoir et expliquent leurs besoins.
Tout le monde y est le bienvenu : vrais aventuriers, baroudeurs occasionnels, curieux, sociétés désireuses de sponsoriser un projet, particuliers voulant mettre leurs humbles compétences à contribution...
L'association qui, à moyen terme, doit devenir une fondation existe depuis 2007 et compte 200 adhérents, souscripteurs et sympathisants.
Envie d'en savoir plus ?
Rédigé à 09:08 dans Coups de coeur de la rédaction (enfin, de moi) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Hier soir, j'ai appris un truc dingue à la chorale : Mike Brant ne comprenait pas un traître mot de ce qu'il chantait.
Oui, quand le chanteur poilu et choucrouté des seventies hurlait son fameux : "C'est comme ça-a que je t'aimeuh !", ça avait autant de sens pour lui que de dire : "Passe-moi-oi les bigorneaux-eaux !"
Et dire que des millions de femmes se sont pâmées en entendant ça.
Dingue.
Du coup, ça m'a donné envie de le réécouter :
C'est vrai que ce n'est pas top en place. Et ce n'est pas qu'un problème de calage son / vidéo !!!
Rédigé à 09:03 dans Toute la musique que j'aimeueueueu... | Lien permanent | Commentaires (8) | TrackBack (0)
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Depuis le temps que ça dure et à quelques jours du match contre le RC Toulon, il faut que quelqu'un le leur dise.
Alors j'ai décidé de me dévouer (parce que j'habite loin et que je cours vite).
Messieurs les joueurs du Stade français, le rose ne vous va pas.
A la limite, en petites touches discrètes, ça aurait pu le faire. Mais le total look jusqu'aux poteaux de but. Quand même...
J'aimerais vraiment qu'on me dise qui a eu cette idée bizarre et pourquoi ? Pour qu'on parle de vous ? Pour déstabiliser l'adversaire ? Parce que ça vous va bien au teint ?
Franchement, tout au fond de vous-mêmes, vous ne trouvez pas ça un poil ridicule ? Juste un poil.
Moi si.
Enfin, bon match quand même !
Rédigé à 09:00 dans Rions un peu | Lien permanent | Commentaires (9) | TrackBack (0)
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Aujourd'hui, j'inaugure une nouvelle catégorie : Tribune libre. Le principe ? Vous donner la parole pour nous faire partager un sujet qui vous tient à coeur, vous faire rire, vous énerve, vous émeut... (Pour plus d'infos, m'écrire : fcorre@free.fr).
C'est Juliette1807 qui ouvre le bal avec ce témoignage poignant.
Dans une vie, nous avons toutes des doutes, des joies, des peines...Une vie ne serait pas remplie sans tout cela. Nous avons toutes connues le chagrin d'amour adolescente, les décès...
Reste les joies et il y en beaucoup ! Excitation d'une première boom, résultats d'examens, mariage...
Cependant, pour beaucoup d'entre nous, les plus belles joies sont les naissances de nos enfants. Mes joies à moi sont arrivées à 11 mois d'intervalle en 2006 et 2007.Mon petit homme et ma louloute d'amour. Oui, 11 mois d'intervalle c'est peu mais beaucoup pour un mari qui voulait des jumeaux (j'ai du épouser Tom Scavo !). Déjà, un premier vous change la vie. Vous vous demandez comment c'est possible d'éprouver autant d'amour pour un si petit être. Je me souviens de devoir me retenir de dormir avec (non, non, non c'est pas bien pour lui !!!)...Mon petit homme était un bébé calme, trop calme... Juste des pleurs pour le biberon, nuits à 3 semaines...Le top! Mais voilà, le calme a fini par laisser place à la passivité, la gourmandise a fini par laisser place à de l'aversion pour la nourriture.
Les sourires ont laissé place au vide. Quant à la parole, elle n'est jamais arrivée...Nos échanges se résumaient aux livres (indispensables pour qu’il s’endorme), aux chiffres et aux alignements des jouets. Malheur à celui qui osait mettre sa patte là-dedans ! Petit homme était également indifférent à Louloute d'Amour. Bref, les enfants, c'est bien mais à condition que tout aille bien!
Le diagnostic tomba à 2 ans: autisme. Le diagnostic ne fut qu'une confirmation car je savais depuis longtemps (un an). Confirmation utile pour la famille car comme beaucoup de familles françaises, le déni était très présent (y compris pour mon mari) : " Ne t'inquiète pas, il va parler. Personne n'est sourd et muet dans la famille." ???? Que faire ? Hôpital de jour, IME... Renseignements pris, on a opté pour une méthode déjà utilisée dans plusieurs pays mais expérimentale en France : ABA. Notre chemin ne fut pas long. Petit homme fut diagnostiqué à 2 ans. Comme quoi, c'est possible. Mais que le chemin fut dur!!
Dur d'entendre des vérités sur les prises en charge des enfants autistes.
Dur de se dire que des personnes ayant Bac+ 12 puissent annoncer aux parents que leur couleur de cheveux est à l'origine du problème ( une maman rousse a eu ce diagnostic à l'hôpital Robert Debré ..). Ou tout simplement que vous n'aimez pas votre enfant. Dur également de voir ces enfants dans des institutions qui ne leurs sont pas adaptées. Comment prendre exemple sur une personne ayant des "troubles" plus importants que vous ?
Dur de voir son mari en larmes en rentrant des courses, au téléphone avec une association de parents lui énonçant toutes ces vérités…
Pourtant, Petit Homme est loin, très loin d'être idiot : tenue du livre dans le bon sens à 9 mois (il n'a jamais mis de livre à l'envers même en faisant le test), reconnaissance des chiffres de 0 à 10 ainsi que de l'alphabet. Alors que faire ? Attendre et se morfondre ou se battre afin de prouver à ces messieurs que Petit Homme a beau être roux et autiste, il n'est pas pour autant perdu ! Notre demande de prise en charge est acceptée 3 mois après son diagnostic.
Les premiers jours sont durs, il pleure beaucoup jusqu'à se faire des plaques sur la figure. Mais, plus les jours avancent plus les pleurs s'estompent, jusqu'à disparaître au bout de 15 jours. Petit homme travaille (ou plutôt joue) avec, quand il s’applique, des extraits de dessins animés pour le récompenser. Résultat, en deux mois, il parle presque aussi bien que les autres enfants ! Un bonheur pour toute la famille !! Nous pouvons de nouveau sortir (même pendant les soldes qui étaient prohibées à cause de la foule !). Louloute peut enfin communiquer avec son frère! Une école (privée) accepta sans problème Petit Homme. Petit à petit, on augmenta le temps scolaire. Son handicap passait inaperçu aux yeux des autres. Le bonheur se résuma à une phrase de sa première institutrice : "Il n'est pas plus difficile qu'un autre, voire plus facile !"
A la fin de sa première année, Petit Homme était scolarisé toutes les matinées .En deuxième année, son institutrice était tellement folle de lui (ben oui, il est beau mon fils !) qu'elle demanda elle-même à ce que son temps de classe soit augmenté! Temps complet à la fin de sa deuxième année de maternelle ! Son institutrice était si contente de lui qu'elle suggéra la venue de Petit Homme sans éducateurs et psychologues. S'est ajouté en fin d'année la cantine (bouh, je ne travaille pas et je mets mes loulous à la cantine !). La nourriture est le plus dur combat de Petit homme. On est parti d'un biberon matin et soir et d'un déjeuner composé de 2 petits filous et du pain-beurre, le tout en chiffre pair car il comptait tout.
Maintenant, il mange presque mieux que ses camarades! Il se plaît à l'école, à la cantine, au centre aéré et même si sa pathologie reste, le pansement social lui permet de vivre presque normalement. C'est toujours un amoureux des chiffres mais aussi des dinosaures et du corps humain: "Maman, une araignée est venue chatouiller mon tympan cette nuit !", "J'ai mal au plexus ", ou encore " Mon pipi est beau c'est signe que mes reins fonctionnent bien !". Il a noué une relation particulière avec Louloute mais aussi avec ses éducateurs, psychologues et l'école .D'ici la fin de l'année, sa prise en charge devrait se terminer, son éducatrice n'étant présente maintenant qu'à la cantine. Les aides maternelles de l'école se sont formées afin de prendre le relais.
Et moi ... et bien moi je revis. Je me dis que si nous avons eu un enfant handicapé, c'est que nous étions capables d'y faire face... Je vis pour mes 3 amours. Je n'ai pas repris le travail et ne compte pas le reprendre ! C'est un choix, je me sens bien comme cela ! Je m'investis dans l'école, dans l'association qui a pris en charge Petit homme et je dois dire que c'est quand même le minimum que je puisse faire! Ma vie est assez remplie. Même si la vie de mère au foyer est difficile (debout 6 h, prête à 6 h30, coucher à 23 h), c'est celle que j'ai choisi ! Je me dis aussi : est-ce que Petit Homme aurait si vite progressé si j'avais travaillé ? J'en doute et ses psychologues aussi .J'ai les moyens de le faire. Mon mari prend le relais le week-end. Mes beaux-parents "m'offrent" des vacances en prenant les loulous de la mi-juillet à fin août. Oh oui j'aime ma vie! Je suis plus fière d'avoir emmené mon Petit Homme là où il est maintenant que de rentrer à la maison avec un salaire et une promotion. Suivre Petit Homme n'est pas simple, il demande de l'attention. Mais, au départ, c'était :" surtout ne faites rien, vous allez aggraver les choses !" " Faites le deuil de votre enfant, vous n'en ferez jamais un bachelier !". Mais pas un idiot non plus!! .... Mettre nos enfants en institution ? Oui, mais à Normal sup ou Polytechnique !
Asperger aide…
Pour en savoir plus : http://autismeinfantile.com/
Rédigé à 09:00 | Lien permanent | Commentaires (12) | TrackBack (0)
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Je ne sais pas vous, mais moi j'en ai marre des critiques qui n'en sont pas. Genre : "Je te balance le communiqué de presse dans son intégralité sans avoir pris la peine d'y regarder de plus près" (c'est comme ça qu'on nous fait passer des navets pour des chefs d'oeuvre : OSS 117 : Rio ne répond plus, Unglorious Bastards, et j'en passe). Ou genre : "C'est ma copine qui l'a fait donc c'est bien".
Mais le pire, ce sont sans doute ces bouquins estampillés best-sellers avant même d'être mis en vente et qui forcément, le deviennent, des best-sellers. Panurge, quand tu nous tiens...
Heureusement, certains résistent et pas que dans les profondeurs des sphères intellos. Pour preuve, la dernière critique réjouissante que j'ai lue, c'était dans Grazia, où le journaliste Didier Jacob s'est attaqué bille-en-tête au mythe Nothomb. Et ça fait mal :
Une critique subjective et argumentée dans un magazine féminin alliant mode, peoplerie et sujet de fond ! Eh oui, ça arrive ! Et même assez souvent dans les pages culturelles de Grazia que je vous recommande chaudement.
Parce qu'on ne va quand même pas se mettre à lire Technikart, n'est-ce pas, les filles ?
Rédigé à 09:00 dans ROGNTUDJUU ! | Lien permanent | Commentaires (7) | TrackBack (0)
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Eh oui, les modeuses Parisiennes, il se passe aussi des choses intéressantes en province...
Mais ne pleurez pas, vous avez encore le temps de réserver votre billet d'avion.
Le week-end prochain donc, c'est l'événement fashion de la saison à Toulouse avec un énorme vide dressing organisé par M'le Olivia alliant fringues branchées (Acné, April 77, Isabel Marrant, Manoush, The Kooples, Vanessa Bruno...), espace jeunes talents (Mulot Bricole, Cuisine française, Mademoiselle Nuno et des tonnes d'autres), gourmandises et beauty bar. La classe.
Et voici, rien que pour vous, l'invitation VIP à l'évènement :
Je vous sens déjà frétiller en demandant : "C'est où ? C'est où ?".
Eh bien, c'est en plein Toulouse au métro Jean Jaurès et pour être plus précise au 16 rue Maury. Et pour être encore plus précise, voilà le plan d'accès :
Petite précision qui a son importance : l'entrée est payante (2 €).
Et pour toutes questions supplémentaires, c'est là : mleolivia@gmail.com.
Je ne sais pas vous, mais moi, j'y vais !
Rédigé à 09:00 dans Fashion mais pas pomme | Lien permanent | Commentaires (6) | TrackBack (0)
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