Le blog de Frédérique Paresseuse

Bouououh

Mais qu'apprends-je ? Après Joaquim Phoenix, c'est Viggo Mortensen qui annonce la fin de sa carrière au cinéma. Souvenez-vous : Le seigneur des anneaux mais aussi A history of violence et Les promesses de l'aube vu récemment sur Canal.

C'est quoi, cette mode de tout lâcher comme ça du jour au lendemain sous prétexte, pour l'un de faire de la musique et pour l'autre "de vivre plus sainement" ?

Qu'est-ce que je vais devenir, moi ?

Et surtout, comment vais-je alimenter ma rubrique "rinçage d'oeil" si tous mes acteurs préférés prennent leur retraite anticipée ?

Allez, je retourne pleurer. Bouououououououh !!!

Impressions parisiennes

Ouf, l'avion ne s'est pas brisé en deux en plein vol !

"Mesdames, madémoiselle, monsieur, oune po di mousica, rrrromana italiana, napolitana...". Mais pourquoi il hurle comme ça ?

"Toutes les femmes en moi font leur show" annonce une affiche de Lara Fabian. Pourvu qu'elles ne chantent pas toutes en même temps !

"Zoing, zoing, ziiiiim". Comment est-ce possible de jouer si mal du violon ?

Le slim moulant avec mini débardeur blanc, ceinture à paillettes et petit bide de buveur de bières, franchement, ça ne le fait pas, monsieur. Madame ?

"Youkoulili, youkoulala". En plus de brailler, ceux-là lancent aussi des oeillades qui se veulent assassines. Au secours !

Montmartre, éclatante de blancheur, au-dessus de la Seine derrière la Tour Eiffel. Trop beau.

Tiens, un cocktail rose dans un mini shaker individuel. C'est recyclable au moins ?

Un bonnet en laine par 30°C dans le bus, faut le faire.

Gavage de sabayon et de macarons par la cousine de ma mère pour me "remplumer".

Opération "je fais les magasins le jour des soldes et je résiste". Ouais, pas mal. Juste 3,50 euros chez Zara Home.

Maintenant, plus dur. Le Monoprix d'Issy les Moules. Deux pantalons pour Morgane, un bermuda pour Camille... Ah non, il y a trop de queue en caisse. Je repose tout. Sauvée.

Diantre, une nana en manteau en laine dans le métro. Ils sont vraiment fous, ces Parisiens !

Arrêt sous terre entre deux stations de métro. Silence radio. Il fait au moins 50 degrés là-dedans. Qui a mis le four à fond ? Au secours !

Bière blanche en terrasse avec ma soeur et mes copines. Trop bon. Trop rare. Surtout qu'il en manquait certaines et pas des moindres...

Et voilà, c'est fini. Retour à Toulouse.

Petite leçon d'anglais

Tiens, pour rebondir sur mon post de lundi : savez-vous comment on dit "rumeurs" ou "potins" en anglais ?

Bzzzzzzzzzzzzzz

Tais-toi, la mouche !

Alors ?

Oui, le grand au fond près de la fenêtre ?

En effet, ça se dit "gossip". Bravo. Un bon point.

Ca ne vous évoque rien d'autre ?

Non ?

Allez, comme je suis mignonne, je vais vous donner un indice : aujourd'hui, c'est le jour du clip sur mon blog. Donc c'est...

Un groupe ! Re-bravo, le grand du fond. Tu auras aussi droit à un Carambar.

Vous ne les avez peut-être jamais entendus, mais je suis certaine que vous avez déjà vu la chanteuse, la nouvelle coqueluche des branchés : Beth Ditto.

Mais son talent ne réside pas dans son tour de taille (et sa capacité à l'assumer) mais bien dans sa voix.

Prêts ? Voici leur nouveau titre : Heavy Cross

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Tous à vos magnétoscopes

Alors que le ton mordant des Desperate Housewives s'est considérablement émoussé cette dernière saison (mais que va-t-on devenir sans les vacheries d'Eddie ?), voici qu'arrive la Cruella des cabinets d'avocats, la quintessence de la peau de vache, celle qui a fait de la manipulation un art, j'ai nommé : Glenn Close alias l'implacable Patty Hewes.

 Enfin, pas si implacable que ça...

La première saison de Damages ayant laissé comme un goût d'inachevé, c'est avec impatience et délectation que nous allons la retrouver face à la jeune et tendre Ellen Parsons.

Enfin pas si tendre que ça...

Et c'est ça, tout le génie du scénario.

C'est ce soir sur Canal. Et il n'y a pas de raison qu'on soit déçus... on n'en est qu'à la deuxième saison.

Mieux que les soldes

Eh bien moi, cette année, je ne vais pas faire les soldes. La cohue, le stress, l'écharpage entre gentes dames très peu pour moi. Et puis j'ai trouvé mieux : un dépôt-vente.

Je sais, je sais, le seul nom de dépôt-vente évoque le vieux : dans le style dans le meilleur des cas, dans l'odeur dans le pire.

Eh bien mon mien à moi que j'ai trouvé fait exception à la règle.

En effet, qu'elle ne fut pas ma surprise quand, happée par les tuniques exposées en vitrine, j'ai réalisé que je me trouvais dans un dépôt vente "nouvelle génération" et non une boutique branchouille mais hors de prix. Au programme : Antik Batik, Comptoir des Cotonniers, Cop Copine, IKKS, j'en passe et des meilleurs...

C'est absolument impeccable, souvent très, très joli et, bien sûr, très abordable comme cette magnifique tunique Antik Batik achetée pour 40 euros (eh oui, j'ai craqué, on ne se refait pas...).

Bref, c'est l'adresse mode toulousaine qui tue : très jolies choses, prix très raisonnables et ambiance feutrée. Son nom ? Le choix de Sophie (d'accord, elle aurait pu trouver plus gai).

Et comme c'est juste en face de la librairie Ombres blanches (rue des Gestes), on peut toujours dire à son chéri qu'on va acheter un livre !

Comment j'en suis arrivée à me disputer avec des oiseaux

Ca a commencé il y a un mois avec le cerisier que j'ai été obligée d'upgrader avec un antivirus spécial :

Ca a plutôt bien marché même si j'ai dû renoncer aux branches les plus hautes.

Et en cette mi-juin me voilà face à une nouvelle offensive, dans le mûrier blanc cette fois. Tous les jours, c'est le même rituel : inspection des branches basses et gobage express des baies noires (logique, pour un mûrier blanc) et juteuses au milieu d'un concert de pépiements indignés.

C'est du délire, ça n'arrête pas. Chaque jour elles réapparaissent plus nombreuses. Une lutte de tous les instants, je vous dis. Eh bientôt, ça va être le tour de l'abricotier !

J'ai une dure vie, je sais.

Cocktails, rumeurs et potins...

Joli programme, n'est-ce pas ?

Eh bien, si vous le voulez, ça va être celui de votre été car c'est le titre du premier roman que j'ai traduit pour la collection Girls in the City de Marabout (voir le site là ).

Le pitch ?

 2 brebis égarées dans la faune de la presse people. Avec bien sûr, un prince charmant qui rôde dans les parages. Laquelle se fera croquer ? Pour le savoir, procurez-vous Cocktails, rumeurs et potins de Marisa Mackle à la Fnac, sur Amazon... enfin où vous voulez.

Bonne lecture !

Et si on dansait ?

pour célébrer la fête de la musique, l'arrivée de l'été, les prochaines vacances, les apéros à l'ombre d'un arbre, les plongeons dans l'eau, les petites robes légères...

Je vous propose She's got me dancing de Tommy Sparks.

La vidéo (qui vaut son pesant de cacahouètes)étant protégée, il faut aller la voir directement sur You Tube : ici.

L'anglais torride

Je ne sais pas vous mais moi, j'associe presque toujours le mot "Anglais" à ça :

  ou ça :    

(Et on se demande pourquoi je suis restée célibataire durant mon année en Angleterre... Bref, là n'est pas le sujet.)

Eh bien, figurez-vous que l'autre soir, j'ai été clouée sur mon canapé par le charisme d'un Anglais.

Je l'avais déjà repéré celui-là, avec ses boucles brunes et ses yeux verts.

Déjà qu'au naturel, il dégage des flots de testostérone, alors en pirate...

Waouh !

Il réussit même à faire frémir l'impassible reine Elizabeth, c'est dire...

Bon, ça y est, je vous sens toutes agrippées à votre clavier, la langue pendante, en train de vous dire : "C'est qui ? c'est qui ?"

Eh bien, pouf, pouf, voilà le sexissime... Clive Owen.

Comme quoi, Albion n'est pas si perfide que ça.

Cocooning à la mode paresseuse

Chouette ! Non seulement il est désormais de bon ton de se revendiquer "paresseuse", mais en plus maintenant on peut l'afficher grâce à la ligne "cocon" et aux accessoires imaginés par Soledad (l'illustratrice des paresseuses).

Les coupes sont sympas, les imprimés discrets (ouf, pas de logo géant sur la poitrine !), les tissus doux et les prix indolores. Bref, tout pour plaire.

Et en plus, en plus, c'est vendu chez Monoprix, mon temple de la tentation préféré (voir ici ). Quand je vous disais que ça avait tout pour plaire !